L’eau pour l’énergie :
Indispensable au bon fonctionnement des organes, une légère déshydratation (1-2%) peut diminuer les performances physiques et la concentration. Une déshydratation de plus de 4% entraîne des baisses de performance jusqu’à 40%.

L’eau et la concentration :
Le cerveau, composé à 85% d’eau, subit rapidement les effets d’une déshydratation. Même une légère baisse d’hydratation peut nuire à la concentration et aux réflexes.

L’eau pour l’équilibre :
Une bonne hydratation est cruciale pour l’équilibre électrochimique des cellules, essentielle pour assimiler vitamines et minéraux.

Besoin quotidien :
On recommande de boire environ 1,5 litre d’eau par jour, soit 8 verres. Cela compense la perte quotidienne d’eau due à la transpiration et à l’urine.

Hydratation au Travail

Une bonne hydratation au travail est souvent négligée, pourtant essentielle pour la santé et la performance. Deux tiers des Français ne s’hydratent pas suffisamment au bureau.

Solutions :
Installer une fontaine à eau purifiée permet d’accéder facilement à de l’eau fraîche. Cela répond également à l’obligation légale de fournir de l’eau potable aux employés.

Conseils pratiques :

  • Boire 8 verres d’eau par jour (1,5 litre) ou 2 litres pour les travailleurs plus actifs.
  • S’hydrater régulièrement, même sans soif.
  • Préférer l’eau à température ambiante ou fraîche.

Milieu Scolaire

L’hydratation en milieu scolaire est cruciale, car 90% des enfants et 86% des adolescents ne boivent pas assez. Une déshydratation peut causer fatigue et troubles de concentration.

Recommandations :

  • Enfants : 1 à 1,5 litre d’eau par jour, selon l’âge et l’activité physique.
  • Utiliser des fontaines pour réduire les déchets liés aux bouteilles.

Promouvoir une bonne hydratation dès le plus jeune âge aide à instaurer des habitudes saines et respectueuses de l’environnement.

 

Source d’information : l’Union française des professionnels du traitement de l’eau, l’UAE

La réglementation

En France, récupérer l’eau de pluie et la stocker dans une ou plusieurs cuves enterrées ou en surface, est prévu par l’article 641 du Code civil: « tout propriétaire a le droit d’user et de disposer des eaux pluviales qui tombent sur son fonds » . Cette eau ne peut cependant pas être utilisée pour tout et n’importe quoi. Le propriétaire est par ailleurs responsable du ruissellement de l’eau pluviale vers la parcelle située en dessous de sa propriété.

S’il est permis de le faire à l’extérieur de son logement sans contrainte pour arroser son jardin, nettoyer sa terrasse ou sa voiture, les conditions pour l’utiliser à l’intérieur sont plus drastiques. L’eau collectée n’est en effet pas considérée comme potable, car pouvant être contaminée (ruissellement sur les toits, eau stagnante dans les bacs de récupération, pesticides dans la pluie, pH acide…).

Ainsi, à l’intérieur des bâtiments, il est possible* de l’utiliser pour laver les sols, alimenter la chasse d’eau des toilettes ou laver du linge à condition d’utiliser un dispositif de traitement de l’eau assurant une désinfection. Pas question en revanche de faire la vaisselle ou de prendre une douche à l’eau de pluie et encore moins de la boire. Pour un stockage important, il est préférable de faire installer votre dispositif par un professionnel.

* Sauf si l’eau a ruisselé sur un toit contenant de l’amiante ou du plomb

Quelle installation pour une utilisation extérieure ? 

La récupération et le stockage de l’eau de pluie nécessitent une installation spécifique constituée d’un système de récupération en général, avec un simple kit de raccordement à une gouttière par exemple, et d’une cuve enterrée ou hors-sol spécialement conçue à cet effet. Pensez à l’étanchéité de votre stockage pour vous prémunir de la prolifération de moustiques.

Si cela semble plutôt simple pour une maison avec un espace extérieur, cela sera difficile pour un appartement. Il faut que la configuration de l’immeuble le permette et obtenir l’accord du propriétaire ou du syndic de copropriété. Par contre, les copropriétaires en assemblée générale et les représentants des locataires avec le bailleur peuvent étudier comment collecter les eaux pluviales dans la résidence pour l’entretien et l’arrosage des espaces communs.

Le bon équilibre à trouver

La collecte des eaux de pluie peut contribuer à diminuer le prélèvement direct sur la ressource, mais il faut veiller à un équilibre entre l’infiltration sur place, le stockage temporaire pour une utilisation domestique, l’alimentation des cours d’eau et l’utilisation des eaux usées traitées.

Et pour l’intérieur ?

En cas d’utilisation de l’eau de pluie à l’intérieur d’un logement, des règles supplémentaires s’imposent. Ainsi les robinets intérieurs reliés au système de récupération sont équipés d’un système de verrouillage (robinet que l’on peut ouvrir avec un outil spécifique) et signalés avec une plaque comportant la mention « Eau non potable », y compris pour les WC. Clapets anti-retour pour éviter tout retour dans le réseau d’eau potable. L’idéal, mais cela peut être coûteux est d’installer un double réseau eau pluviale, eau de consommation non connectable entre eux.

Il est interdit d’installer un robinet distribuant de l’eau de pluie dans une pièce où se trouvent des robinets distribuant de l’eau potable, à l’exception des caves, garages et sous-sols.

En plus, si l’installation est raccordée au réseau d’assainissement collectif pour le rejet des eaux usées, il est obligatoire de faire une déclaration d’usage auprès de la mairie sur papier libre.

Si l’habitation est équipée d’une installation d’assainissement non collectif (ANC), le déversement d’eau de pluie dans les eaux usées est interdit.

Doit-on entretenir son système de récupération ?

Cela est imposé seulement si vous utilisez l’eau de pluie à l’intérieur. Dans ce cas, tous les 6 mois, il est suggéré de vérifier la propreté de ses équipements, et tous les ans, de réaliser le nettoyage des filtres, de la vidange et de la cuve de stockage. Un carnet d’entretien sanitaire de l’installation doit être tenu avec les dates des vérifications et la nature des travaux réalisés.

Des aides financières ?

Si elle n’est aujourd’hui plus éligible au crédit d’impôt, l’installation pour récupérer l’eau de pluie peut bénéficier d’autres aides. Certaines communes, intercommunalités, ou régions comme l’Île-de-France proposent des subventions pour acquérir le matériel nécessaire. Le mieux est de se tourner auprès de votre mairie.

 

L’eau dans nos maisons

En France, selon l’Ademe , l’eau du robinet provient à 66 % des nappes souterraines et à 34 % des eaux de surface (cours d’eau, lacs…). Nous consommons en moyenne 148 litres d’eau par jour et par personne. L’eau est toujours traitée avant d’arriver dans nos logements.

L’eau potable est principalement utilisée à :

  • 39 % pour l’hygiène corporelle
  • 20 % pour la chasse d’eau des WC
  • 22 % pour le lavage du linge et de la vaisselle
  • 6 % pour la cuisine
  • 6 % pour le lavage de la voiture ou l’arrosage du jardin
  • 1 % seulement pour boire

Pour plus d’informations, veuillez consulter les documents suivants :

Sources : 

 

 

Le charbon actif est largement reconnu pour ses propriétés exceptionnelles dans le traitement de l’eau, que ce soit pour l’eau de pluie, les puits ou les forages. Son utilisation permet de purifier l’eau en éliminant efficacement les contaminants, les impuretés et les substances chimiques indésirables. Grâce à ses micropores, le charbon actif possède une surface d’adsorption très élevée, ce qui lui permet de capter et de retenir un grand nombre de polluants. Ainsi, l’eau traitée avec du charbon actif est non seulement plus propre mais également plus sûre à consommer.

L’un des principaux avantages du charbon actif est sa capacité à éliminer les contaminants organiques et les résidus de produits chimiques tels que les pesticides, les herbicides, les solvants industriels et les composés organiques volatils. De plus, il est efficace contre le chlore et les sous-produits chlorés, améliorant ainsi le goût et l’odeur de l’eau. Le charbon actif peut également réduire les métaux lourds tels que le plomb, le mercure et l’arsenic, rendant l’eau plus saine pour une utilisation domestique.

Un autre aspect crucial du charbon actif est son rôle dans la filtration des eaux de pluie et des puits. Ces sources d’eau peuvent contenir des contaminants microbiologiques tels que les bactéries et les virus, ainsi que des sédiments et des particules en suspension. En utilisant un filtre à charbon actif, il est possible de retenir ces particules, améliorant ainsi la clarté et la pureté de l’eau. Cela est particulièrement important pour les habitants des zones rurales ou pour ceux qui dépendent de l’eau de pluie comme principale source d’eau potable.

En ce qui concerne l’emballage, un nouvel emballage pour le charbon actif a été développé. Cet emballage est conçu en plastique recyclable, adapté aux poubelles PMC (Plastic, Metal, and Drink cartons), soulignant un engagement fort envers l’environnement et le recyclage. Ce matériau recyclable permet non seulement de réduire l’empreinte écologique, mais il facilite également la gestion des déchets.

Un tout nouvel emballage qui ravira les utilisateurs 

L’emballage est équipé d’un bouchon verseur de fermeture hermétique, offrant une protection maximale contre l’humidité et les contaminants extérieurs. Ce bouchon verseur permet également un remplissage plus facile et plus précis des conteneurs ou des cartouches de filtration, minimisant les risques de déversements et de gaspillage.

De plus, l’emballage est doté d’une anse pratique qui permet de le transporter facilement ou de le pendre au mur de la pièce où se trouve le filtre à eau. Cette fonctionnalité est particulièrement utile pour les utilisateurs ayant des espaces restreints ou souhaitant garder l’espace de filtration organisé et propre. L’anse assure également une manipulation facile et confortable, même lorsque l’emballage est plein.

La contenance de ce nouvel emballage reste identique à celle du tonnelet utilisé jusqu’à ce jour, soit 3.4L. Cela signifie que les utilisateurs ne doivent pas ajuster leurs habitudes de consommation ou de stockage, rendant la transition vers le nouvel emballage simple et sans tracas. Le design plus chatoyant de l’emballage ajoute une touche esthétique agréable, rendant l’emballage non seulement fonctionnel mais aussi visuellement attractif.

 

En résumé, le charbon actif est une solution efficace et fiable pour le traitement de l’eau de pluie, des puits et des forages. Ses propriétés d’adsorption permettent d’éliminer une large gamme de contaminants, garantissant une eau plus propre et plus sûre à consommer. Le nouvel emballage recyclable, doté d’un bouchon verseur hermétique et d’une anse pratique, améliore l’expérience utilisateur tout en soutenant des pratiques écologiques. Avec une contenance inchangée et un design attrayant, ce nouvel emballage offre une solution moderne et efficace pour le stockage et l’utilisation du charbon actif.

Politiques sur l’eau potable

En 2012, les Pays-Bas ont adopté une politique sur l’eau potable pour 2021-2026 visant à assurer une eau potable de qualité et en quantité suffisante pour tous les Néerlandais. Adaptée en 2022, cette politique met en place une collaboration entre le gouvernement central, les autorités locales, les compagnies d’eau potable et les parties prenantes pour promouvoir une utilisation responsable de l’eau potable.

Contexte

Des périodes de sécheresse et des limites dans l’expansion des capacités des compagnies d’eau ont mis en lumière les préoccupations concernant la disponibilité future de l’eau potable.

Croissance de la population et de la demande

La demande en eau potable devrait être plus élevée en 2030 qu’en 2020, nécessitant une capacité de production supplémentaire de 100 millions de m³ par an. La croissance démographique et la construction de 900 000 nouveaux logements d’ici 2030 augmentent la demande en eau potable, alors que le changement climatique réduit la disponibilité de l’eau propre.

Plan d’action national pour économiser l’eau potable (NPvA)

Le NPvA vise à atteindre les objectifs de la politique de 2021-26 et à répondre aux demandes prévues pour 2030. Il propose des mesures pour réduire la consommation d’eau potable, incluant le changement de comportement des consommateurs, la valorisation de l’eau, la rétention, le stockage et la récupération.

Objectifs du plan

  • Réduire la consommation d’eau potable par habitant à 100 litres par jour d’ici 2035 (actuellement 125 litres).
  • Réduire de 20 % la consommation d’eau des grands consommateurs.
  • Imposer la construction respectueuse de l’eau comme norme pour les nouvelles constructions et les rénovations d’ici 2035.
  • Limiter l’utilisation de l’eau potable pour des usages à faible valeur ajoutée.

Ménages

Les ménages, responsables de 74 % de la consommation d’eau potable en 2020, sont ciblés pour les économies d’eau. Les principales utilisations sont les douches (41 %), la chasse d’eau des toilettes (29 %) et les machines à laver (18 %). Des initiatives comme les douches plus courtes, la communication efficace sur l’usage de l’eau et les compteurs intelligents sont proposées pour 2024-25 et au-delà.

Construction neuve et rénovation

D’ici 2035, la construction respectueuse de l’eau devrait devenir la norme, avec l’intégration de systèmes de collecte des eaux de pluie et des eaux grises. Ces systèmes pourraient permettre d’économiser 30 à 48 litres d’eau potable par personne et par jour, avec un coût de 4 000 à 7 000 euros par système.

Utilisateurs professionnels

Les utilisateurs professionnels sont divers et nécessitent des solutions sur mesure. Des référentiels pour différents secteurs seront établis pour définir des valeurs cibles de consommation. Les mesures d’économie d’eau pour les nouvelles constructions et les rénovations seront envisagées pour les utilisateurs professionnels.

Recherche et collaboration

Des recherches seront menées pour évaluer les effets de la tarification et de la taxation sur la réduction de l’utilisation de l’eau potable. L’utilisation de la science des données et des compteurs intelligents aidera à optimiser le réseau d’eau potable et à identifier les améliorations possibles.

Conclusion

Le plan souligne la nécessité d’une coopération entre le gouvernement, les provinces, les municipalités, les offices des eaux, les consommateurs, les compagnies d’eau potable, et le secteur de la construction et de l’installation. Il reconnaît que la réalisation des objectifs nécessite un engagement à long terme et des ajustements continus basés sur les nouvelles idées et développements.

Appel à l’action

Le plan encourage le partage d’innovations et de résultats de recherche sur la technologie de l’eau. Les exposants d’Aquatech sont invités à mettre à jour leurs profils d’entreprise avec leurs derniers communiqués de presse pour une exposition gratuite.

Texte issu d’une publication de Aquatech Online

Les éléments indésirables de l’eau robinet

Bien que n’impactant pas la santé, la présence potentielle d’éléments indésirables dans l’eau du robinet peut présenter des inconvénients :

–  L’odeur

La mauvaise odeur de l’eau qui s’écoule des robinets est due aux éléments chlorés. Du chlore est ajouté durant la dernière étape du traitement des eaux par les services publics dans le but de neutraliser les composés organiques volatils, les minéraux ou encore les métaux. Même s’il est injecté en très faible quantité, cet ajout peut laisser une odeur désagréable similaire à l’odeur de l’eau de Javel. Toutefois, sa quantité est minime et sans cesse contrôlée afin de ne pas nuire à la santé des consommateurs.

–  Le goût

Le calcaire contenu dans l’eau du robinet influe sur le goût lorsque l’eau est chauffée. Les particules de tartre (calcium et magnésium), qui sont en suspension dans l’eau, lui donnent une saveur peu appréciée pour les cafés, les thés ou encore les bouillons.

–  La couleur

Après une coupure causée par des travaux ou par une longue absence, ou bien à cause du calcaire, les particules de tartre donnent un aspect peu engageant à l’eau du robinet. Bien que son apparence puisse inquiéter, une eau qui n’est pas limpide n’est pas nécessairement impropre à la consommation.

Pour se débarrasser de ces désagréments, des installations de traitement de l’eau à domicile existent.

Les solutions pour consommer l’eau du robinet sans éléments indésirables

Il existe différents systèmes de filtration, fixes ou mobiles, qui permettent d’améliorer l’odeur, la saveur, l’aspect et ainsi d’éviter les éléments indésirables dans l’eau du robinet :

–  L’adoucisseur d’eau : L’adoucisseur d’eau se compose d’un bac de résine et d’un bac à sel. C’est au contact de la résine échangeuse d’ions que l’eau calcaire va se transformer en eau adoucie. Pensez à le protéger d’un filtre à eau de type Cintropur !

–  L’osmoseur inversé : Cette méthode de traitement de l’eau agit par filtration sur membrane semi-perméable qui ne laisse passer que les molécules d’eau. Cet appareil, à installer sous l’évier, retient le chlore et les éléments solides présents dans l’eau et les micros polluants  (résidus médicamenteux, industriels, etc…). Ici, aussi, cet appareil devra être protégé par un filtre Cintropur pour fonctionner le plus longtemps possible.

–  Le filtre à charbon actif : Le charbon contenu dans le contenaire filtrant absorbe le chlore, la majorité des pesticides et des impuretés organiques. Ce système améliore le goût et élimine les odeurs.

L’usage de ces appareils rend la consommation d’eau du robinet plus agréable. Or, celle-ci présente de nombreux avantages.

Pourquoi consommer l’eau du robinet ?

–  Elle est contrôlée : L’eau du robinet est une ressource qui subit le plus de contrôles en Belgique et en France. Elle est traitée dans des usines spécialisées pour répondre à des critères stricts afin de la considérer comme potable et de la distribuer dans les foyers.

–  Elle est économique : L’eau du robinet est jusqu’à 300 fois moins chère que l’eau en bouteille.

–  Elle est écologique : En termes d’émissions de CO2, 1L d’eau en bouteille est égal à 3 432L d’eau du robinet.

Si vous souhaitez en savoir davantage sur le sujet, pensez à consulter un professionnel du traitement de l’eau proche de chez vous.

Texte issu d’une publication de l’UAE

Cintropur est membre de la fédération des traiteurs d’eau Aquabelgica depuis une dizaine d’années. En rejoignant cette fédération, en tant que fabricant de filtres et de stérilisateurs à eau, nous enforçons notre crédibilité et notre engagement envers la qualité et la sécurité de l’eau potable, tout en restant informés des évolutions réglementaires et technologiques du secteur. Aquabelgica contribue à promouvoir les bonnes pratiques et les standards de l’industrie.

En témoigne ce dernier communiqué de presse rédigé à l’occasion de la journée mondiale de l’eau, vendredi 22 mars 2024.

AquaNederland a lieu du mardi 19 au 21 mars, à Gorinchem, à qq km d'Amsterdam. Notre stand se situe dans le hall principal. Ce sont Valérie et Jo qui vous y accueilleront. Loïc, notre stagiaire de chez Helmo, les rejoint le dernier jour. Les nouveautés, le filtre à charbon actif NW280CTN et le stérilisateur en format trio UV 10100 sont de la partie. Ainsi qu'un petit clin d'oeil national aux utilisateurs néerlandais. A découvrir sur notre stand !
Participer à une foire commerciale en Italie c'est beaucoup d' heures de préparation et de routes lorsque l'on vient de la Belgique. Alors, les attentes sont élevées. Le bilan que l'on peut tirer de cette expérience est mitigé : la qualité des visiteurs a fort heureusement compensé la quantité. Alors, merci à ceux et celles qui se sont intéressés à nos produits.

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